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 Spliced à la Shimada Corps - Rp Laboratoire/Expérience génétique.

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Iriam

Iriam


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MessageSujet: Spliced à la Shimada Corps - Rp Laboratoire/Expérience génétique.   Spliced à la Shimada Corps - Rp Laboratoire/Expérience génétique. EmptyVen 24 Fév - 12:58

Intro : Chapter 1 (Yaruen ; puis plus bas : Yaruen et Abel).

Yarüen Rhiannyr mettait comme toujours une bonne vingtaine de minute pour s’extraire des liaisons et connectiques qui le reliait depuis la chambre d’acclimatation à l’exoderme, ayant entamé la partie matérialisation des éléments du bras du Waka-Gashira. La pièce n’étant pas un organe complet, mais seulement des connecteurs et des plages organiques bio cybernétisées, le tout devait être maintenu en hoovering, dans une reproduction environnementale du « bras » du porteur. Et c’était à ceci que servaient les chambres d’acclimatations. Il était deux heure du matin, encore une fois il avait largement dépassé. Son estomac commençait à lui gueuler dessus, mais très vites, la nausée l’envahirait : le terminal de la « chambre » n°2 s’activa automatiquement sous la transmission autorisée par un code d’urgence, le dérangeant en pleine déconnexion, un truc à lui péter les neurones. Il lâcha un cri de rage purement physiologique et manqua de défaillir, retenu uniquement par les tentacles reliées à l’exoderme. C’était une sorte de double réveil, celui du scientifique, celui de la créature. Sortir de ses connectiques était à chaque fois une sorte de renaissance et depuis le temps il ne gobait plus rien pour faire passer la chose, autrement il ne boufferait plus que des pilules et des injections. Il supportait. Une fois libéré il recula dans un équilibre bancal, semblant un moment être un forcené, et envoya des coups de paumes répétés sur ses reins jusqu’à ce qu’il appuie sur la désactivation de la pressurisation qui maintenait la combinaison dans une fermeté « musculaire ». Le derme se relâcha d’un coup en bâillant comme si le tissus s’était mis à grandir, et il put enfin s’en extirper, révélant un torse entretenu dans la salle de sport de l’organisation à deux sas du labo, (le Trinity), recouvert d’un gel bleuté translucide luisant. Il passa au-devant de la « chambre » n°2 la créature maintenue dans un champ magnétique à l’intérieur duquel étaient reproduit les conditions environnementales de son développement. Il n’y jeta pas même un coup d’œil tant qu’il n’était pas complètement libre de l‘exoderme, ça faisait en quelque sorte partie du décor de son labo et il n’avait absolument aucune pudeur devant son expérience qui avait pour lui autant de valeur qu’un hittoman new génération ou un organe biocybernétique dans une chambre d’acclimatation : valeur scientifique et récréative. Coupé de l’extérieur, il ne dealait pas avec les hittoman qu’il contribuait pourtant à développer, étant en lien constant avec le central d’Osaka. Sa position dans l’organisation était traitresse, et le mieux encore c’était d’y penser le moins possible. Il prit une longue et puissante inspiration en se courbant en arrière, étendant ses bras au-dessus de sa tête en joignant ses mains jusqu’au craquement satisfaisant de ses reins. Il relâcha tut et désactiva cette fois plus rapidement la pressurisation du bas de la combinaison qui s’effondra à ses cheville comme une mue épaisse. Il était entièrement nu dessous l’exoderme, sans compter le gel translucide qui lui recouvrait le corps. Tournant le dos à la chambre 2, il s’extirpa du tas blanc en levant un pied après l’autre et alla chopper une serviette qu’il se passa nerveusement sur le corps pour virer le gros du gel, puis revint vers la chambre, tenant les deux pan de la serviette poissée qu’il avait gardé autour des épaules et se rapprocha d’une démarche maintenant décontractée pour venir se ficher devant le champ magnétique. Il prononça une commande en nippon et le champ s’estompa progressivement, déverrouillant la barrière entre l’environnement s’acclimatation et l’environnement confiné du labo. Ces derniers mois l’acclimatation avait été programmée pour se rapprocher le plus possible de l’environnement « extérieur », travaillant l’adaptation des organes de l’être isolé, tout comme les hittoman new génération étaient maintenant produit. Le dernier modèle en date était Shinobiyoru Kage, clone génétique d’Iriam [Joueur : Eijitanaka et non c’est pas moi Mad], et il avait du violement occulter la chose, car le prototype était en ce moment même acheminé au BronX pour une mission test. Il ne lâchait pas les pans de sa serviette, serrant inconsciemment le tissu dans une pression nerveuse tandis que que son regard vert ambré se sabrait pour discerner la créature au milieu des dernières volutes de vapeur. Il retenait sa respiration alors qu’un pressentiment irrationnel s’emparait sournoisement de lui, comme si le doute était en train de se tailler une place dans son esprit trop bien rangé. Il en comptait plus les fois où ces dernier temps le terminal s’était activé, ou il avait du s’extirper de ses connectique et venir à l’encontre de son « prototype » aux yeux constamment ouverts et qui pourtant ne semblait rien voir. Il s’était habitué à ce regard vide qui ne percevait probablement rien de lui ou de l’arrière-plan du labo à chaque fois qu’il venait vérifier, par précaution. ET probablement cette fois encore s’était-il soumit à l’extraction de l’exoderme pour rien.

Chapter 2 : l'éveil (Yarüen/Abel) Les "/me= Yarüen Rhiannyr)

Tout lui repassait encore une fois par la tête, les longs monologues tenu au sujet ds Inu et des monstres qu’ils étaient à ses yeux, si bien que devant la création qu’il avait laissé évoluer sous une sorte de curiosité scientifique non amorale, mais avidement intéressée, ondes psychiques probablement égale à celles d’un gamin qui arrache les ailes d’une mouches pour voir ce qu’il va lui arriver, il avait laissé l’embryon grandir, alors même que très tot le constat des mutation de gênes insuffisantes s’ »était fait. La couleur de la peau, les ailes, le surplus qu’il n’avait réussi à se débarrasser pour isoler seulement l’écholocation et l’émission d’ultrasons que la caractéristiques impliquait. Il n’était pas généticien, il était biocybernéticien. Mais dans le but d’adapter les nanos aux caractéristiques des hittomans de troisième génération en train d’être développé en éprouvette au central d’Osaka, il avait reçu les données pour faire son plan de travail génétique et tester ses nano en conditions. Il n’avait nullement besoin de laisser un spécimen se déployer. Aucune et son laisser aller n’était que le résultat d’une vie trop cadrée ultra rigide. Il ne soufflait mot, son cœur battant à tout rompre sous cette nouvelle altertes qui en différait en rien des autres sinon dans le présentiment qu’il en avait. Il se débarrassa de la serviette dont le gluant lui devenait insupportable et jetait un œil nerveux aux panels de contrôles de ses paramètres vitaux sans être capable de lire quoi que ce soit correctement, il lui était présentement impossible de se focaliser sur quoi que ce qoit autre que le « visage » de la créature qu’il avait nommé Abel, pour en pas avoir l’impression de s’adresser à une plante holographique lorsqu’il parlait.

0:08] Abel (erween.arkin) ferma ses paupieres. Une etrange sensation s’etait developpe en lui ces derniers jours. Jusqu’alors, son existence n’avait ete que des images floues, ses capteurs photo-oculaires captaient toutes sortes de couleurs et ombres, mais il n'y pretait jamais aucune attention et pour lui ca n'etait qu'une distraction mineur sur ce quoi il se concentrait plus attentivement lors de ses etats de conscience plus avances : les vibrations sonores. Son oreille droite trembla. Ce bruit qui venait parfois le deranger dans son sommeil sans reves, une voix. C'etait sans doute la premiere pensee qu'il ai jamais forme dans son cerveau: il voulait s'approcher de la voix, l'entendre plus distinctivement, comprendre ce qu'elle signifiait. C'etait depuis ce moment qu'il avait commence a changer. Son ventre convulsa. La sensation devint plutot desagreable, une sorte de pulsion venant de son estomac et se propageant lentement dans le reste de son corp. Il n'avait pas eu beaucoup d'opportunite pour ressentir quoique ce soit ces mois d'incubation, le temps etait aussi pour lui une notion completement inconue. Seule cette soudaine curiosite qui l'avait envahi avait ete le declencheur de ce qui etait en train de ce produire. La sensation desagreable devint douleur, sa main se crispa.


/me déglutit difficilement, le danger ne luié tait pas même passé par l’esprit : il était chez lui, à létage des chambres d’acclimatation dans cet énorme labo, et lui seul avait l’entrée à ce niveau de haute sécurité. Il était en même temps isolé du reste et n’avait absolument rien sur lui, sinon un bouton d’alerte à frapper à l’entrée du long couloir blanc, dont le rouge dépassait des parois trop neuves et trop lisse. Le genre de pressoir que l’on cogne d’un coup de poing sous une urgence. Ça faisait beaucoup trop à envisager. Il déporta vivement sa focale sur la « main » qui lui semblait avoir fugacement bougée, puis releva à nouveau son regard sur l’évaporation de l’environnement synthétisé qui laissait place à l’air ambiant de la chambre, celui là même qu’il respirait. Le masque respiratoire était à portée. Il s’avança prudemment sur le socle du compartiment, prunelles vertes ambrée rivée sur les nodules ou les conduits et tubes qui acheminaient les nutriments aux corps d’Abel étaient brochés, puis vint précautionneusement le libérer du carcans de tentacules qui le maintenaient envie depuis le quatrième stage de son évolution. Bientôt l’apesanteur aurait totalement disparue, et la créature risqueraient tout bonnement de s’effondrer, ses muscles n’étant été stimulé que par les courant électrique délivrés et programmé plusieurs heures par jour. Il serrait la mâchoire sous la montée en tension qui le prenait, les griffe qui lui semblaient habituelles dans se visites quotidiennes, prenant maintenant un tout autre sens, à quelque centimètre de lui.

(erween.arkin) avait du mal a enregistrer tout ce qui etait en train de se passer, des dizaines de nouvelles sensations venaient se bousculer dans sa tete a une vitesse impressionante, ce qui contrastait beaucoup avec ce qu'il avait vecu jusqu'ici, son existence d'habitude si calme, reguliere et monotone, bercee par les meme sons et images informe a ses yeux, mis a part la voix qu'il entendait, peut etre etait-ce d'ailleur la raison pour laquelle il la trouvait si facinante, elle n'etait ni reguliere, ni monotone.. Neanmoin, une sensation plus puissante que les autres prenait le dessus, accelerant les batements de son coeur et envoyant de nouvelles convulsions le long de ses membres: la panique. Une autre chose le frappa aussi, il ne recevait plus d'information visuel, ce qui en soit n'etait pas aussi desagreable que le reste des petits choques qu'il ressentait pour le moment, il trouva meme du reconfort dans ce voile noir qui etait tombe sur lui, comme une couverture douillette ou il aurait pu s'y oublier et couper co urt a ce flux abondant d'information qui lui parvenait, et etait franchement douloureux a present. Son coeur s'arreta au meme moment ou la creature s'effondra au sol, le champ magnetique coupe.


/me lâcha un enroué et lent “Mother of fuck” spontané et halluciné, comme si la conscience de son laisser aller en terme de « protocole éthique » venait subitement de le frapper au relachament sans « vie » d’Abel. Il guettait le truc et le rattrapa sous les épaules, son souffle se coupant sous le contact froid et gluant de l’épiderme sombre contre le sien, dont les résidus du gel bleuté étaient en train de sécher. La vie n’était rien pour lui, en revanche l’idée qu’Abel lui crève sous le nez à la première bouffée d’air aspirée lui filait une sale tension dans la colonne. Il scrutait non plus les boards de contrôle, ni ne se fiait aux sons et aux voix à l’articulation mielleuse de robot féminin nippon qui émanaient du système d’info de la « chambre », mais rivait une attention chirurgicale à la moindre réaction de la créature. Il accompagna sa chute dans un contrôle assez monumental de la précipitation que ses nerfs lui ordonnaient de mettre, s’agenouillant sur le socle d’où émanaient les dernière volutes de vapeur humides, gardant la créature contre lui jusqu’à l’allonger devant lui. Il agissait méthodiquement, venant lui chopper la jugulaire entre le pouce et l’index pour lui ouvrir la bouche et plongea à ses lèvres en prenant une profonde inspiration. Il lui pinça le nez en insufflant son propre air et déportant ses deux mains, phalanges croisées à plat sur sa cage thoracique, entamant un massage cardiaque choc, à l’impulsion lente : créature brachycarde. Il répéta le geste, grognant un « Allez, come on, Abel ! » énervé en appuyant avec force contre ses cotes. « Abel ! » répétait-il d’un ton impératif et autoritaire, sans n’avoir au fond de lui aucune idée de l’atteinte possible de ses appels.

:57] Abel (erween.arkin) s'installait deja comfortablement dans ce grand vide noir et silencieux quand un choc vint le sortir de sa torpeur. Ca n'etait ni le contact soudain avec une autre source de chaleur, ni la pression sur ses levres ou l'etrange sensation d'air remplissant ses poumons, ou meme encore les coups sur sa cage thoracique, il avait bien enregistrer tout ca, mais ce qui perca ce lourd voile noir qui s'etait deja installe entre lui et la vie, fut la voix. Elle avait l'air plus clair, et definitivement plus proche, son echolocation fonctionnant deja de maniere surprenante. Comment avait il pu deja oublier cette premiere pensee, ce premier besoin primal, cette curiosite ? Il ouvrit les yeux, la lumiere dechirant l'ombre qui l'avait enveloppe, tout son corp se convulsa. Il prit une profonde inspiration comme si c'etait sa premiere, ses yeux n'arrivait pas a se fixer sur quoique ce soit, regardant au dela des formes floues qu'il discernaient devant lui. Insctinctivement sa gorge prononca un son basse frequence, grave,une sorte de "thum", ses oreilles tremblerent et deja un autre flot d'information l'innonda: les objets autour de lui, l'etre qui se tenait au dessus de sa tete, tout prenait forme dans son cerveau meme s'il etait incapable d'en comprendre la signification.

Ses mains tremblèrent sous les signes de vie, et de la pression maintenue avec force sur la cage thoracique brune, il ne restait plus rien. En lui alternait le mental rigide et à l’observation méthodique de qui se présentait à son attention avec une tension bien plus viscérale. L’infra son manqua de le faire sursauter, pourtant il savait, il s’y attendait, mais éprouver le truc était une toute autre expérience. En quelque sorte, c’était réussi. Mais au lieu de penser directement à barder la créature de capteur et s’enfermer pendant des jours à ne donner signe de vie pour étidier Abel sous tous les aspect, il réagissait sous une toute autres considération, et là, venait machinalement s’essuyer la bouche d’un revers de main, pestant contre lui-même : l’avait –il contaminé de quelque chose ? Son contact « Non, il a mon adn » lâcha-t-il sur un ton erratique, répétant encore de ce même ton enroué et absorbé« Non, non. J’ai passé en revue tout ça. », se parlant encore et toujours à lui-même devant les contrariétés qui le dépassaient. Une aberration. Il aurait pu utiliser ni’porte quel adn, mais il s’était servi du sien propre. Comme si le truc était plus gérable. Un évènement hors de contrôle était une erreur pour son esprit ultra scientifique, ce pourquoi il nageait en pleine contradiction à chacun de ses réveils : rien de ce qu’il n’avait fait là n’avait quoi que ce soit de rationnel ni de moral et de réfléchis sauf les équations et les instruments qu’il utilisait. Il jouait au démiurge pour avoir un semblant de contrôle sur ce qu’il était, et sur ce que son éducation avait fait de lui. Rhiannyr, Irougov, deux branche d’une même famille, même combat. Il l’avait réhaussé contre lui, main rivée à sa tempe afin de lui tirer les paupières dans un réflexe médical qu’il aurait eu même s’il eut été lui mêem en train de crever. La focale ne se fixait pas. « réfléchis, réfléchis connard » s’exhortait-il, certain de laisser apsser un truc évident sous l’excitation mentale de la situation. ET l’évidence lui tomba dessus, il haussa le ton pour ordonner, en commande vocale un sec et articulé « Shōtō ! [lights off] » et la luminosité se tamisa subitement. Il expira lentement, ses prunelles s’adaptant en revanche très mal à l’obscurité. Il n’avait pas son écran crânien, que dalle.


[11:49] Abel (erween.arkin) se calmait lentement, les yeux plisses instinctivement, essyant de controler le flux d'information visuel qui lui arrivait dessus d'une maniere assez desagreable, il etait eblouis, mais ca lui ne le comprennais pas. Lorsque le doc parla, son corps se figea, attentif, voila encore une fois le son qui pour lui maintenant signifiait une sorte de commencement, un debut, de ce qu'il etait. Instinctivement, il leva un de ses bras, tirant sur la fine membrane qui le reliait au cote de son torse, ses muscles lui faisait mal mais il n'y pretait pas attention. Il tendit une main griffue vers la source qui emettait le son, cette ouverture au dessus de lui. Si le scietifique le laissait faire, un de ses doigts acceres viendrait toucher le charnu de sa levre inferieur qui vibrait lorsqu'il parlait, y lessant sans doute une fine coupure tant ses griffes etait naturellement affutees comme des rasoirs. La creature etait maintenant plutot calme, elle ne se sentait pas en danger, c'etait quelque chose qui lui etait encoreinconnu. Ses yeux lutterent contre l'oscultation medicale, son autre main qui n'avait pas encore bouge vint repousser celle de Yaruen. Lorsque la lumiere baissa, il laissa echaper un nouveau "thum" guturral, le son basse frequence etait plus lent a se propager dans la piece et a lui revenir, mais il apportait plus de detail avec lui. Ses yeux moin indisposes par la lumiere s'ouvrire completement pour la premiere fois, devoilant leur couleur cyan surnaturel, fendu par des pupilles felines.

Sa propre nudité était vraiment le dernier truc à sa conscience, son esprit était complètement compartimenté en analyses et observations médicales et éthiologiques, ramenant à sa mémoire immédiate tout ce qu’il savait sur l’échantillon racial de chiroptères dont il avait isolé le gène, et captait maintenant pourquoi il s’était procuré la magnétite. Il savait et avait tout prévu. Du médaillon de magnétite, qui servirait à la créature à localiser sa position par rapport à lui, jusqu’ au masque/casque visant à filtrer les sons et protéger les tragus d’Abel. Lors que la « main» s’élevait lentement, il retint sa respiration un instant, focale rivée sur le visage de la créature semblant subitement percer au travers du vague en scotchant sur quelque chose que lui seul semblait voir, et l’expression de son visages se durcit imbittablement : il pouvait en rester là et terminer cette aberration. Il fronça plus encore, son air filtrant bruyamment de ses narines, mâchoires serrée à se péter la dentition : en finir, now ôter la vie à cette chose et faire comme s’il n’avait jamais existé. D’ailleurs son existence était relative, relative à lui-même. Etant le seul à en connaitre l’existence. Il cessa de respirer, retenant son souffle, à moins qu’il n’ait tout simplement oublier qu’il lui fallait respirer, desserrant la mâchoire pour dire quelque chose, n’importe quoi, entendre le son de sa voix et sortir de sa torpeur, mais il ne pu rien en faire, et ses lèvre entrouvertes sur son silence, ne tressaillirent que sous le liquide chaud qui venait d’en perler, la goutte de sang lui coulant le long du menton jusqu’à gouter sur sa cuisse sans qu’il n’ait pour autant réagit. Dans la pénombre, le prunelles bleues semblaient luirent sans se refléter sur quoi que ce soit, et c’était surement ce qu’il avait anticipé, le moment où le regard de la créature se fixerait sur un point, démontrant sa perception de l’environnement, et la naissance de son « conscience » au monde. Il retira sa main caressant le front d’Abel pour en dégager les mèches sauvages, puis ne savait plus quoi en faire, comme si le contact devenait dangereux. Il le soutenait toujours de son autre bras, et cette fois, rompit le silence à son tour, répondant à l’infrason d’un incertain et bas « tu comprends que je m’adresse à toi ? Abel ? » reprenant une lente inspiration, l’oxygène étant presque venu à lui manquer.

15] Abel (erween.arkin) pencha legerement la tete sur le cote, n'enregistrant pas encore les gests sur son front ou la position dans laquelle il etait maintenant. Tout ce qui lui importait pour le moment c'etait encore la voix. Son regard explora lentement le visage du Doc, qui pour lui n'etait que le prolongement de ce trou dont emanait des sons. Il ne s'etait pas encore rendu compte que par deux fois deja il avait produit lui meme un son, pour lui ca n'etait que sa maniere instinctive de prendre conscience de ce qui l'entourait. Ses yeux finirent par rencontrer ceux de Yaruen, il eu l'air surpris, sa deuxieme grande decouverte de son premier jour d'existence, sans comprendre pourquoi, il savait que ces deux ronds verts ambres appartenaient a quelque chose de concient, tout comme lui, et de part ce fait etait plus important que le reste des objets dans la piece. Lorsque la voix se fit entendre une nouvelle fois, sa focale redescendit sur sa bouche, machinalement il esseya de se redresser, il voulait s'approche encore plus pres de la source des vibrations qui venaient lui chatouiller les oreilles.

/me se passa la langue sur la lèvre inférieure, gêné par la sensation de chaleur, et captant enfin au gout ferreux qu’Abel venait de le couper. Le son de sa propre voix avait résonné à son ouïe comme un son étranger, il lui semblait être en pleine perche, pire encore que lorsqu’il était sur une redescente de nano, avant que la Shimada Corps lui fournisse le matériel robotisé et l’exoderme pour pratiquer les opérations d’ordre nanologiques et pour lesquelles il s’injectait de hautes doses dans les bras et augmenter ainsi la précision et le contrôle de ses gestes à l’échelle machinique. Le mouvement ascendant d’Abel lui indiquait clairement que sa recognition était opérationnelle, il siffla un ris nasal halluciné et quelque peu maladif, secouant lentement la tête, comme si passant d’une tension extrême il réalisait seulement now que la créature était vivante, devant lui et qu’elle « communiquait ». Il sabra son regard, plantant ses prunelles dans la lueur bleutée du regard de la créature et feula un à peine audible « hay… », puis répéta plus fort « Hay, tu m’entends », reportant la main dont il ne savait que faire à la joue de la créature, comme pour accompagner et garder un contrôle sur son ascension, tandis que qu’il pressait légèrement de son bras de soutient, dans le dos qui se redressait, s’habituant au contact étrange de la crinière dorsale qui avait maintenant séchée. « Tu as des cordes vocales Abel, imite moi, lâche un fuckin’ son » jamais plus que maintenant avait-il l’impression de se parler à lui-même. C’était le relâchement de la pression. Il était, humain après tout. Il repoussait les considérations d’ordres pratiques et le chamboulement de l’organisation réglée de sa vie qu’il allait devoir assumer, s’il.. gardait cette créature avec lui. Viscéralement il aurait l’impression de commettre un suicide en la supprimant. Il le sentait, sans y penser.

[12:42] Abel (erween.arkin) sentit qu'il lui etait tout a coup plus facile de se redresser, ne calculant pas tout de suite que c'etait grace a la main dans son dos. Non decidement il y'avait des choses plus interessantes pour captiver son attention. Une fois son visage plus qu'a quelques centimetres de celui du scientifique, il attendit que la voix reprenne pour produire en meme temps un autre son, legerement plus aigu. Il sourit lorsque les vibrations qu'il avait emis vinrent se meler a celles produite par la voix, ses oreilles transformant les ondes sonnores en veritable images, il discerna disctinctement l'interieur de la bouche et la gorge de l'homme devant lui, ainsi que ses cordes vocales. Analysant le mouvvement, il ouvrit la bouche et une seconde plus tard, il parla, d'une voix cristaline et mesuree, demontrant deja un controle parfait de son propre organe vocale : "Tu as des cordes vocales Abel, imite moi, lache un fuckin' son", la reproduction de la phrase etait presque comme un replay d'un enregistrement, memes intonations, meme longueurs des sons, seule la voix lui etait propre. Il leva alors les yeux vers ceux du doc, toujour souriant, la mine fascinee par tout ce qu'il decouvrait, presque ivre de ces nouvelles sensations et pensees.


[12:52] Yaruën Rhiannyr (jazz.draconia) n’était vraiment pas du genre démonstratif , et son best, collègue et colloc Zack Slade avait fini par se chopper une bosse au front à force de se facepalmer devant la froideur du roumain au double Phd. Autant les icebergs pouvait virer en guimauves béats devant une portée de kitten, autant lui ne perdait rien de sa distance froide de contrôle peu importe ce à quoi il faisait face. Il avait le manche du balais bien profond, qui tenait sa colonne vertébrale toujours bien droite quelque soit la situation. Mais là, là, c’était tout simplement hors normes. Le premier ultra son qui s’échappait d’Abel le fit ciller sous l’aigu poussé, et là, c’était bien ce qu’il avait cherché à reproduire en feuj : de quoi faire un hittoman se rouler à terre comme un putain d’autiste. Et ce qui suivit lui fit tout bonnement ouvrir la bouche de stupéfaction, secouant encore une fois la tête sans pouvoir lâcher un mot de plus, le sourire naturel et spontané de la créature le traversant aussi certainement qu’une aiguille de Lysergie, éclairant son visage en lui soustrayant une dizaine d’année sur la gueule. Il s’exclama, froissant ses traits sous une expression joyeuse autant que médusée « Mais Yes, mais yes ! Gosh tu apprends vites… « Il fronça en coinçant sa langue entre ses dents et lâcha « Abel, toi, Abel.. » Ses jambes s’engourdissaient, il n’y pensait plus même, et alors qu’il lui répondait, il n’avait de cesse de repousser les mèches qui ne faisaient que revenir indomptée sur le front brun.

2:42] Abel (erween.arkin) sentit qu'il lui etait tout a coup plus facile de se redresser, ne calculant pas tout de suite que c'etait grace a la main dans son dos. Non decidement il y'avait des choses plus interessantes pour captiver son attention. Une fois son visage plus qu'a quelques centimetres de celui du scientifique, il attendit que la voix reprenne pour produire en meme temps un autre son, legerement plus aigu. Il sourit lorsque les vibrations qu'il avait emis vinrent se meler a celles produite par la voix, ses oreilles transformant les ondes sonnores en veritable images, il discerna disctinctement l'interieur de la bouche et la gorge de l'homme devant lui, ainsi que ses cordes vocales. Analysant le mouvvement, il ouvrit la bouche et une seconde plus tard, il parla, d'une voix cristaline et mesuree, demontrant deja un controle parfait de son propre organe vocale : "Tu as des cordes vocales Abel, imite moi, lache un fuckin' son", la reproduction de la phrase etait presque comme un replay d'un enregistrement, memes intonatio
[12:42] Abel (erween.arkin): ns, meme longueurs des sons, seule la voix lui etait propre. Il leva alors les yeux vers ceux du doc, toujour souriant, la mine fascinee par tout ce qu'il decouvrait, presque ivre de ces nouvelles sensations et pensees.

[12:52] Yaruën Rhiannyr (jazz.draconia) n’était vraiment pas du genre démonstratif , et son best, collègue et colloc Zack Slade avait fini par se chopper une bosse au front à force de se facepalmer devant la froideur du roumain au double Phd. Autant les icebergs pouvait virer en guimauves béats devant une portée de kitten, autant lui ne perdait rien de sa distance froide de contrôle peu importe ce à quoi il faisait face. Il avait le manche du balais bien profond, qui tenait sa colonne vertébrale toujours bien droite quelque soit la situation. Mais là, là, c’était tout simplement hors normes. Le premier ultra son qui s’échappait d’Abel le fit ciller sous l’aigu poussé, et là, c’était bien ce qu’il avait cherché à reproduire en feuj : de quoi faire un hittoman se rouler à terre comme un putain d’autiste. Et ce qui suivit lui fit tout bonnement ouvrir la bouche de stupéfaction, secouant encore une fois la tête sans pouvoir lâcher un mot de plus, le sourire naturel et spontané de la créature le traversant au
[12:52] Yaruën Rhiannyr (jazz.draconia): ssi certainement qu’une aiguille de Lysergie, éclairant son visage en lui soustrayant une dizaine d’année sur la gueule. Il s’exclama, froissant ses traits sous une expression joyeuse autant que médusée « Mais Yes, mais yes ! Gosh tu apprends vites… « Il fronça en coinçant sa langue entre ses dents et lâcha « Abel, toi, Abel.. » Ses jambes s’engourdissaient, il n’y pensait plus même, et alors qu’il lui répondait, il n’avait de cesse de repousser les mèches qui ne faisaient que revenir indomptée sur le front brun.


[13:11] Abel (erween.arkin) pris enfin le temps de s'interesser aux restes de qui se passait autour de lui, et de ce qu'il ressentait. Ses yeux loucherent sur la main qui venait lui retirer les cheveux du visage, il lui apparu d'ailleur imediatement que croiser sa vision de cette maniere etait desagreable et il secoua la tete legerement comme s'il voulait se remettre les pupilles en face des orbites. Il entriprit alors a se redresser, ses oreilles vibrerent alors qu'il ecoutait la voix, ne comprenant pas encore que ces vibrations ont un sens, comme un felin a l'attention de trop courte duree, il pris l'air de ne plus s'y interesser. Il emit un nouveau son grave, superposant cette fois ci l'image sonore avec l'image visuel. Il se retrouva acroupi, etitrant ses bras a l'horizontale de part et d'autre de son corp, deployant la sa membrane elastique, il soupira agreablement. Sa queue indomptable oscilla dans son dos, il prit conscience de son corp dans son ensemble alors que ses yeux se poserent sur le scientifique nu, comparant leur formes, un leger bourdonnement echappait ses levres, comme s'il etait en train de veritablement scanner ce qui se tenait en face de lui. Il n'avait pas l'air de s'offusquer des gestes du doc a son encontre et ne preterait pas plus d'importance aux mains du scientifique sur son corp, si ce n'est peut etre que l'un ou l'autre petit frisson instinctif, la pluspart des nerfs de son epiderme emetant une pulsion electrique pour la premiere fois.



[13:29] Yaruën Rhiannyr (jazz.draconia) retira son bras progressivement en sentant la créature s’agiter, il savait qu’il n’était pas à l’abri d’un coup de griffe ou d’aile, parfaitement conscient que la force d’Abel devait dépasser une échelle humaine malgré le gabarit humanoïde raisonnable. Sans pourtant cesser de scuter la moindre des réaction ni le moindre tressaillement d’Abel, dans cette pénombre à laquelle l fut forcé de s’adapter sans expédient technologique dont il était d’ailleurs farcis à l’étage en dessous, il subissait pourtant une perte de concentration proche de l'ivresse, se reprenant dans la gueule le contrecoup des longs mois passés à savoir dans un coin de sa cervelle que la créature grandissait là, dans la chambre n°2. Il en aurait oublié de grailler, de dormir, de pointer au labo même à ce moment-là, se demandant si l'moment de penser logiquement à accorder les deux réalités allait venir un jour. Car s'était presque ça, dans son esprit, le rapprochement entre l’étage d'acclimatation et le reste du labo n'était pas encore fait. Quant à celui du labo au monde extérieur. Il était un nerd, un vrai nerd. Manger. Déjecter. Marcher. Un souffle en frome de «Putain » lui échappa des lèvres. Sous la pensée du bordel qui l’attendait derrière le sourire naïf de la créature à l’attention volatile. Il faillit défaillir. Il lui faudrait condamner l’une des chambres et aménager un espace haute sécurité pour lui. L’idée d’en parler à Zack et de le ramener chez eux ne lui viendrait certainement pas avant un siècle. Alors que les ailes se déployant dans un bruit reptilien, comme s’il eu face à lui un dragon déployant une collerette en signalant qu’il s’apprêtait à cracher du feu, il recula instinctivement, l’appuis de ses jambes engourdit lui manquant soudainement. Il se réceptionna sur la paumes des mains, à terre grimaçant du choc qui l’avait fait changer de niveau et recula encore en se repoussant d’une quarantaine de centimètres sur le carrelage froid et asceptisé. Il ne voulait pas se redresser trop rapidement, et pour le moment, son re gard était rivé sur Abel, faible luminosité de la « chambre » d’acclimatation lui permettant de discerner les mouvements et les formes. Il ne voulait pas perdre contrôle ou laisser trop de liberté à al psychée de la créature, alors il devrait tenter d’emplir son univers d sa présence, ce pourquoi il se décidait à continuer à lui parler, se raccrochant aux premières choses qui lui venaient dans cet état perturbé ou il se trouvait « TU es dans une chambre d’acclimatation, tu as grandis ici, depuis le jours ou le premier noyeau s’est divisé. Tu n’es tpas humain, Abel, et les humains ne doivent pas te découvrir, pas encore. »


[13:55] Abel (erween.arkin) se saisit legerement en entendant le bruit des mains de Yaruen claquer sur le carelage. Il prit simplement un air surpris et frappa sur le sol avec sa propre main, l'imitant et voulant reproduire le phenomene, analysant ce qui se produisait et l'image sonore qu'il en recevait. Il avait apparement un esprit vif et analytique, sans doute avait-il heriter, dans une certaine mesure, des competences cognitives du scientifique a travers son ADN. Son regard n'avait pas quitter ce dernier, il essayait a present de comprendre, du moin c'est ce dont il avait l'air, ses yeux luminescants fixe sur les levres de Yaruen, enregistrant les mots. Il replia ses bras pour placer ses mains sur ses genoux, la membrane se froissa comme de la soie presque sans bruit. Alors que l'homme en face de lui prenait du recul, lui, s'avanca, apparement ne voulant pas mettre trop de distance entre son corp et la voix qu'il determinait deja comme etant le centre de son univers. Il repris l'inventaire des sensations qui lui parvenaient, bandant ses muscles les uns apres les autres, faisant craquer quelques jointures sous ses mouvements, il aurait pu paraitre nerveux et alors qu'il pensait avoir fait le tour de choses interessantes au niveau de son corp, une drole de sensation se fit sentir dans son estomac, comme si quelque chose lui manquait, et quel ne fut pas sa surprise lorsque son ventre emit un grondement! Il ouvrit grand les yeux et fixa son estomac.


[14:11] Yaruën Rhiannyr (jazz.draconia) vivait à sa manière une découverte proportionnellement inversée, partant d’un tout explicatif systémique pour aller vers les détails et les observations sommaires sur la créature. Il se demandait intérieurement quand est-ce qu’il allait enfin pouvoir penser logiquement, et s’étant assuré qu’aucune réaction d’Abel ne semblait montré d’agressivité naturelle ou d’instinct sauvage, c’était déjà ça, il se redressa progressivement, ramenant ses genoux à terre avant de se déployer de toute sa hauteur. Fallait qu’il le laisse seul peut être quoi, 5 minutes ? Il commençait à se peler, et la raison qui lui fit prendre conscience de ça était simplement éthiologique. S’il choppait une crève, quoi que ce soit.. Non il secoua la tête. « Vaccins, les vaccins… » La rage.. « Think, think » lâcha-t-il en se prenant la tête entre les mains, en profitant instinctivement pour faire craquer ses reins, à l’imitation étrange d’Abel. Il ne recula pas sous l’approche de la créature, conscient du vecteur qu’il devait être pour lui. Le gargouillis le coupa dans ses réflexions désordonnées, et c’est en ayant l’impression d’être un génie, qu’il constata à voix haute « tu as faim Abel.. ». Oui, il fallait qu’il descende. IL soupira forement, son air faisant décoller les mèches blondes de son visage, tandis qu’il reculait vers la porte isolée qui reliait au sas de décontamination de la pièce. Il n’avait aucune idée de la manière dont Abel réagirait en le voyant disparaitre. « 5 minute , donne moi juste.. 5 putains de minutes » murmurait-il, le regard rivé aux prunelles bleu flash.

[14:30] Abel (erween.arkin) avancait machinalement, toujours accroupi et s'aidant de ses mains griffues, a chaque fois que l'homme reculait, il semblait determine a ne pas laisser trop de distance s'installer entre eux. La sensation a son ventre devint plus forte alors qu'un autre gargouilli se fit entendre, ce qui bien evidement reporta son attention sur son estomac. Machinalement, il porta sa main a cet endroit et voulu se frotter le bedon, mais incapable de jauger de sa force ou du tranchant de ses griffes, son insctinct un peu a la masse, vu qu'il est un hybride, et rien dans ces genes n'auraient pu le preparer convenablement a piloter cette double forme, il se coupa. Ses paupieres s'ecarquillerent et il cria, panique. Si le doc n'avait pas encore bien juge de la puissance de son organe, il allait au moin en avoir un bel avant gout: le cris persant etait definitivement inhumain, s'etalant sur une gamme de frequence large, allant des aigu jusqu'aux aultrasons et peut etre meme au dela. Heureusement il fut assez bref, car aucune creatures n'auraient pu resister a un tel son tres longtemps, sans subir de degat permanent.


[14:43] Yaruën Rhiannyr (jazz.draconia) était entrain d’ envoyer sa main tâtonner contre la parois, et sentant enfin le panel de contrôle sous ses doigts, il désactiva la reconnaissance vocale par sécurité, ayant été témoin des prouesses d’Abel en terme d’imitation et de recognition, se doutant bien que l’intelligence de la créature devait lui permettre un apprentissage fulgurant. Il n’avait aucune idée de la manière dont Abel réagirait en le voyant revenir fringué, ni même.. La vérité c’est qu’il n’avait pas la moindre idée de la manière de procéder avec lui. Au central d’Osaka, il y avait une équipe de 6 laborantins par hittoman, les binômes effectuant des veilles médicales au 1/3 de journée, assistant à une ribambelle d’intervenant et enurologue spécialisé dans les dispositifs similaire au D+, véritable matrice de réalité augmentée qui garantissait un apprentissage express et un déversement d’information continu, dans un contrôle de l’activité cérébrale et mnésique continues de chacun de sujet. Les dix premières années de vie d’un Inu pouvaient se représenter en de long rouleau d’électroencéphalogramme consultable sur écran souple sur n’importe quels instant T de leur journée hyper encadrées. C’était peu ou prou les pensée auxquelles il s’accrocher pour garder un semblant de maitrise sur la situation, lorsqu’il ne pu réaliser la chape de plomb qui lui tomba dessus. Il porta instinctivement ses paumes en étau à son crâne, l’inutilité de son geste étant flagrant sous les fréquences qui traversait de toute manière son corps. Ses yeux s’écarquillèrent subitement et il crissa son souffle, pris d’une fibrillation brusque de ses voies respiratoires. Le move fut bref, foudroyant. Il défallit, se réceptionnant d’un genoux contre le carrelage. Un hittoman aurait probablement saigné de tous ses orifices, yeux, oreilles, nez, bouches. Il était sonné alors qu’il fut enfin libérer et toussa brièvement pour remettre ses fonctions en marche, captant au même instant la bourde de la créature. Il fit comme si « tout allait bien », ravalant la dangerosité de ce q u même instant la bourde de la créature. Il fit comme si « tout allait bien », ravalant la dangerosité de ce qu’il venait d’encaisser pour en pas effrayer plus encore la créature et, d’une voix fébrile, murmura « c’est rien, tu t’es coupé, baka ne » portant sa main là où le sang perlait le long de l’estafilade, luisant sous la luminosité du panel de contrôle, comme pour en faire pansement. Il reprenait sa respiration par la bouche, soufflant profondément et expliquait à nouveau d’un timbre trainant et éprouvé « Abel, je vais revenir, tu va patienter » sachant pertinemment qu’il risquait de revenir après l’apocalypse..

6] Abel (erween.arkin) secoua la tete et se convulsa legerement comme s'il regurgitait une boule de poil, apparement son propre cri lui etait desagreable, son echosensibilite en overload sous autant de vibrations sonores. Il retrouva ses eprits et se calma des que la main du doc se posa sur sa plaie et qu'il entendit sa voix recomfortante, il emit un rale rauque ressemblant presque a un ronronement, mais c'etait surtout une maniere de contrebalancer les vibrations aigues qu'il entendait encore raisoner. Il ne bougeait plus et semblait beaucoup plus calme, il devait sans doute aussi reprendre un peu son souffle apres tous les evenements qui venait de se produirent en l'espace d'une heure. Il deposa son cul sur le sol froid, ce qui le fit frisonner et agita sa queue dans son dos. Il releva la tete vers Yaruen et le regarda avec une petite mine d'incomprehension, presque penaud.

/me soupira brièvement et s’humecta les lèvres sous la sècheresse qui l’avait pris depuis un bon moment et grimaça brièvement sous la coupure dont il avait oublié la présence. De même, il était inconscient du filet de sang séché qui lui fendait le menton. Il retira la main poissée d’hémoglobine, percutant un instant que c’était le miroir de son propre sang et amena sa main à son visage, humant machinalement l’odeur ferreuse. Il fronça de fatigue après le coup porté qui avait directement fait vriller son oreille interne et son équilibre et se redressa, envoyant presque instinctivement une main à la joue d’Abel,le ronronnement lui faisant forcément penser à un félin, et tourna son poignet au milieu de la caresse pour l’achever immanquablement dans ses cheveux et délivrer le regard surnaturel. Il se déploya à nouveau, tanguant sous le rétablissement incertain de son équilibre et se plaqua à la paroi du sas, prêt à empêcher Abel le le suivre. Il ne savait pas même comment son métabolisme neuf réagirait à une décontamination. Il devrait regarder les résultats des derniers enregistrements de la chambre d’acclimatation concernant le check up sanguin et tout le bordel qui lui ferait certainement creuser des cernes en un rien de temps. La porte glissa automatiquement dans un bruit léger de vrombissement. Il le repoussa d’une pression légère pour s’assurer de ne pas voir sa tête passer dans la fermeture de la portes et une fois dans le sas, se laissa tomber en subissant la décontamination.


/me ne s’était pas vu dans un seul miroir, décontamination ayant achevé de faire disparaitre les résidus de gel. Il n’aimait pas du tout cette sensation, le tout ne se terminant pour lui qu’une fois rentré avec une douche, un verre de bourbon et Zack. Première fois qu’il se retrouvait au labo autrement qu’en combi ou à poils, depuis qu’il avait acquis le matériel qui lui manquait. Il enfilait son shirt alors que le plastique de compression qui maintenait les étoffes dans le vide pendant ses journées.. et nuit au labo était encore accroché au tissu et fonça à la « cuisine » de l’étage mise à disposition des laborantin et recelant les pires règles d’hygiène possibles. Il grugea la décontamination, ayant les codes des panels de contrôle et rafla tout ce qu’il trouvait, mettant les fruits déjà sous vide dans un autre conteneur, pensant qu’il allait devoir expliquer l’élevage d’insecte à moins de le localiser dans la pièce qu’il condamnerait. Il renversa sa tête en arrière en fermant les yeux et poussa un cri libérateur, sorte de longue note indiquant qu’il approchait un niveau de folie jamais atteint, puis, quitta l’endroit comme si de rien. En terme de matériel médical, chaque pièce d’isolation de l’étage dédié contenait ce qu’il fallait, et il savait qu’il ne serait bientôt plus le seul maitre à bord dans l’accès à l’étage, ne serait-ce que pour le contrôle du renflouement de denrée de labo. Sa tête bourdonnait, probablement encore sous l’effet du cri poussé par la créature, et écarquillant subitement les yeux sous la pensée, fit un long crochet au sous-sol, descendant les 6 étages pour aller se procurer un dispositif auditif des hittoman. Ça aussi, il allait devoir l’expliquer. Tout était répertorié, et sa présence avait pointée en indiquant clairement qu’il avait pioché dans le matos. En tout et chrono, il avait passé 17 minute à l’extérieur, et encore, en ayant grugé les maints dispositif et sas dont son ADN était enregistré comme « officier ». Et la crainte ne l’avait pas encore traversé. Ce ne fut que rendu à l’étage des chambres qu il percuta. Marquant une pause avant de rouvrir le sas, et alors qu’il osait formuler la pensée selon laquelle Abel, ayant le même ADN que lui.. Il lâcha cette fois purement et simplement la mallette emplie de crudité devant le tableau qu’il discernait « God ! » hurla-t-il presque sous le coup de flippe. Il, s’accroupis aussitôt, reprenant vite contenance pour ne pas stresser la créature, et ouvrir la valisette à meme le sol, regard focalisé dans le vague, accessoirement sur une pomme. Il respirait lentement, se forçant à avaler le fait qu’il était croisé avec un fuckin’ chiroptère.

6:02] Abel (erween.arkin) avait les yeux fermer lorsque la porte s'ouvrit. Il n'ouvrit qu'un seul oeil et en apercevant Yaruen, il lacha un long soupire, comme s'il avait ete en apne tout le temps de son absence. Il n'eu aucun mal a reconnaitre le doc, sa forme, sa demarche, jusqu aux bruits biologiques que produisait son corp, et qu'il avait l'ouie assez fine pour les entendre, avaient ete memorise. Il deserra l'emprise de ses pattes et en un instant il s'ecrasa lamentablement sur le socle de l'incubateur, l'enfoncant certainement un peu. Apparement il avait encore quelques progres a faire a ce niveau la, il ne paru neanmoin ne pas s'etre blesser, le fait qu'il soit rester silencieux en etait la preuve. Il se redressa tant bien que mal, legerement sonne et leva son regard sur Yaruen, observant ses gestes. Il s'approcha d'un pas prudent vers la valise ouverte et renifla, puis se racla la gorge avant d'imite le son qu'il avait entendu plus tot, dans la meme intonation de surprise : "God !". Il leva son regard vers Yaruen et sourit legerement, content d'entendre et revoir la voix.

/me releva distraitement la tête vers le rafus, sans précipitation cette fis comme s’il s’était su condamné à découvrir catastrophe sur catastrophe, bien qu’au final la créature fut fort soage en son absence. Il sabra son regard, discernant l’action dans la pénombre et devenait ce qui venait de se produire en constatant d’un ton bas et trainant « Ara, le gène de la maladresse, j’ai du te le refiler. Sorry buddy … » Puis il accrocha ses prunelles vert ambrées, maintenait cerclée du rouge de la fatigue tant physique que nerveuse, tendant une main vers lui tandis qu’il s’approchait prudemment, et étira un sourire en coin en s’entendant parler au travers du timbre si particulier d’Abel, libérant encore une fois ue sorte de folie naissante qui lui fit lâcher un rire franc « Nay, Abel, je ne suis pas Dieu, je suis … » et il bloqua connement sur la fin de sa phrase, murmurant d’un air absorbé tandis qu’il reposait sa main sur la nuque de la créature, plongeant ses doigts dans la crinière dorsale sans même y réfléchir « Je suis putain de taré… « Il ferma les yeux et donna un léger coup de menton vers les fruits éparpillés et surgit de leur emballage « Mange, Abel, comme ça » happant à ce moment de son autre main une pomme qu’il croqua sans faim, bien qu’il eu lui aussi le ventre vide.

6:28] Abel (erween.arkin) se pencha en avant et cambra son dos lorsque la main du doc passa dans sa criniere, encore une fois une reaction plutot feline, visiblement apreciant le geste, la creature avait cote mignon qui lui etait propre. Il ecouta attentivement ce que dit Yaruen, ses oreilles tremblantes sous les vibrations. Son regard se fixa sur les fruits et il observit ses gestes. Il ne lui fallu qu'une seconde pour comprendre qu'il etait sense l'imiter. Plus maladroitement que lorsqu'il reproduit les sons qu'il entends, il reproduisit les gestes: attrappant une premiere pommes entre ses griffes, cette derniere finit tres vite en compote sous ses griffes accerees. Il souffla fort, bien au fait que ca n'etait pas l'effet voulu, il repris un autre fruit, plus prudement, et ouvrit sa gueule, devoilant ses rangees de petites dents pointues : chez les chiropteres, ces dents servent a percer les plus dur carapaces d'insecte, toute proportion gardees, il etait evident qu'une morsure d'Abel ferait du degat! Plus aussi mignon que quelques secondes plus tot! Il mordit dans la pomme et commenca a macher, le jus lui degoulinant du menton, les yeux ecarquilles, enregistrant les nouvelles sensations, et la premiere utilisation de son palet!

/me prolongea la caresse en massage, le geste le décontractant tout autant. Son filtre auditif était enclenché : pas compliqué, toutes les fréquences infra et ultra. Il était hors de question pour lui de se reprendre cette branlée sonore qui l’avait envoyé au tapis un moment avant. Il le regardait distraitement transformer la bouffe en charpie, un sourire étrange flottant sur ses lèvres, lueur sombres traversant son regard mis clos. Il était seulement entrain de percuter l’importance du tournant que l’organisation de sa vie de nerd allait prendre. Il lui tendis la pomme entamée, n’ayant pas conscience de sa propre faim sous la situation et l’encouragea «Encore. Fais attention, tu es un chiroptère, pas un porc, Abel » son timbre sélevait à peine, et à cette heure-ci, lui manquait ses deux verres de bourbon quotidien. Il saisi rapidement al serviette qui trainait pliée au fond de la malette, en déchira le plastique avec les dents, tandis que sa focale, se portait avec appréhension sur la bouche dévorante de la créature, s’attachant au détail pour en plus avoir à penser sur le systémique, et encore moins l’éthique qui l’accompagnait. Il porta le papier au menton brun, essuyant au fur et à mesure en secouant lentement la tête « Qu’est ce que je vais faire de toi, sérieusement. » déclara-t-il à voix haute, s’adressant tant à lui qu’à la créature.

0] Abel (erween.arkin) avala sa bouchee, sentant la nourriture lui descendre le gosier pour finir dans son estomac, qui imediatement le recompensa d'une vague de plaisir et de satisfaction. Il compris alors le besoin de manger. Il finit la pomme en deux-trois bouchees, et en repris imediatement une seconde, se stuffant la gueule de cette chair delicieusement sucree. Il n'ecoutait que distraitement ce que disait le doc, pour lui la voix ne portait en elle toujours aucun sens, il apreciait juste de l'entendre, c'etait familier, comme lorsque le scientifique se tappait ses long monologues alors qu'il etait encore dans l'incubateur. Il n'etait pas encore conscient de son importance, il savait juste qu'il ne voulait pas s'en eloigner. Sa queue venait taquiner la main sur sa criniere, les muscles dans son dos se convulsant de temps en temps sous ses doigts. Quand il fut rassasie, il bailla longuement et cligna des yeux avant de repeter : "Qu'est ce que je vais faire de toi, serieusement." Il balanca alors sa tete de droite a gauche,comme s'il s'attendait a ce que le scientifique fasse quelque chose digne de son attention incessement sous peu.

/me ne se laissait plus surprendre par les mouvements inhumains, il pencha la tête sur le coté pour vérifier que la sensation s ‘accordait bien avec ce qu’il s’imaginait : la fourrure de la queue mouvante de la créature. Il en déduisait que malgré ses maladresses, il avait une conscience topologique de son corps achevée. Il amplifia sa caresse en longueur, suivant instinctivement l’implantation de la fourrure, et reposa la serviette. Rien sur l’activité cérébrale enregistrée n’avait indiqué un temps de veille et un temps de conscience, encéphalogramme constant malgré quelques variations pendant la longue incubation. Il n’avait donc aucune idée du cycle de veille de la créature, ni de quels gènes avaient pris le dessus à ce sujet. , Il haussa les épaules à la question renvoyée en miroir, se fendant d’un sourire médusé et railleurs et répondit, en ayant l’impression à chaque fois qu’il s’adressait à Abel, d’être un autiste en puissance « No clue boy, mais toi, qu’est ce que tu vas faire de moi ? « ses propos différant largement des pensées d’ordre matériel et organisationnel qui tournaient et fusaient dans son esprit, encore assez vif pour compartimenter son esprit.

4] Abel (erween.arkin) cambra encore plus son dos lorsque le massage s'approchait dangereusement vers un endroit plus sensible, juste au dessus de la base de sa queue. Il gronda lentement, le bruit roulant dans sa gorge, il placa ses mains au sol et ne pu s'empecher de soulever son arriere-train. Les yeux mi-clos, son iris luminescant a peine visible sous ses paupieres, il ouvra la bouche et son grondement se transforma en son, comme un fredonnement grave, son intentonation avait vaguement des aires de language, comme si c'etait un chant. Ses orreilles s'aplatirent sur sa tete et ses griffes gratterent le sol. Il n'arrivait plus a se concentrer sur quoique ce soit, la sensation agreable qui provenait du massage et des gratouilles dans son dos l'avait pousse dans cette etat de transe. Son chant resonnait dans la piece. Il finit par s'interrompre et s'approcha de Yaruen, cherchant le contact, il vint se blottire contre son cote, se laissant retomber au sol a cote de lui. Il redressait juste sa tete a la recherche de son regard,ou peut etre de sa bouche, esperant qu'il continuerait de parler.

/me était en train d’effectuer un rapide calcul masse/bouffe, tout en dispensant distraitement le massage habile bien que machinal, le geste le reposant tout autant. Le résultat de son calcul lui fit pincer les lèvres dans une mimique emmerdée. Encore un truc qu’il allait devoir se démerder de faire acheminer. Il devrait faire appel à des kumi-in différents pour assurer la logistique de la bouffe. Il pensait également aux déjection et à toutes les questions d’ordres primaires et pourtant vitales, and so on, et il aurait pu se taper en organigramme mental toute la chaine logistique de la chose si la réaction d’Abel en l’avait pas interpelé, il fit illico le lien entre sa caresse et l’état de la créature, facilement assimilable à un comportement de félidé. Pochette surprise génétique, pensait-il en silence, et sans qu’il ne se rende compte de son geste, il désactiva le dispositif auditif hittoman, se laissant envahir de la tonalité fondamentale de l’étrange chant qui émanait d’Abel. « Beautifull » feula-t-il pensivement, première considération d’un ordre dépassant le scientifique en lui. Son regard perdit en perclusion, le regardant avec saisissement, lèvres restée entrouvertes sous l’étonnement esthétique. Il n’eut aucun geste de rejet, le chant et les vibrations qui lui remontèrent jusqu’au poignet de sa main en contact avec lui l’avaient comme anesthésiés et il releva son autre bras pour laisser place à Abel contre lui, le refermant autour de ses épaules sans aucun calcul ni précaution exagérée. « Je peux toujours t’enregistrer et me repasser ce chant en boucle histoire de ne pas devenir parfaitement fou… « murmurait-il encore une fois autant pour lui-même que pour la créature « ou bien patienter et persévérer jusqu’au jour ou tu seras capable de m’assister… » poursuivait-il bassement, sa focale floutée sous l’apaisement, noyée dans le cyan surnaturel.

2] Abel (erween.arkin) ajusta sa position, ou peut etre etai-ce juste une excute pour se frotter un peu contre le doc. Il se tourna et se retourna jusqu'a ce retrouver sur son dos, les pattes posees au sol, genous plie et legerement ecarte. Il tendit son bras droit ver le plafond, deployant sa membrane elastique en soupirant, il vint ensuite repeter le geste avec son bras gauche. Une fois s'etre etire, il approcha une main a son visage, celle qui avait ecrabouille un des fruits, et il entreprit de la laver avec sa langue, exactement comme un felin l'aurait fait sauf que, c'etait tout naturel pour le chiroptere aussi! Ces derniers ne passent d'aileurs leur temps qu'a dormir, manger, et se laver. Ses oreilles tressaillaient de temps a autre, presque independement de sa volonte. Chaque bruit etait enregistre et catalogue, et cela devait aussi en etre le cas pour tout ce que disais Yaruen, meme si la creature ne comprenait rien encore, il pourrait neanmoin se souvenir de tout ca quand il aura appris le language. Il repris son fredonnement, mais de maniere beaucoup plus legere.



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